Carte blanche à Lili CROS et Thierry CHAZELLE, avec GARANCE et Bastien LUCAS
Lili CROS et Thierry CHAZELLE
Deux mois avant de « faire l’Olympia », ils nous font l’amitié de revenir à JARNY. Ils ont joué dans une salle parisienne chaque semaine pendant 7 mois et la presse (journaux, radios, télés) est unanime : « Frais, pimpant, drôle et émouvant ! » TELERAMA TT ; « Duo malin » L’OBS ; « Une pépite musicale » LE MONDE ; « Un moment rare » LE FIGARO ; « Une radieuse complicité… ça fait du bien ! » LA CROIX ; « Ils subliment le quotidien ! » DIRECT MATIN ; « Chapeau ! » LE CANARD ENCHAINE ; « Un duo attachant et talentueux » FRANCE INTER ; « Enchanteur, pétillant et joyeux » FIP ; « Un inventaire à la Prévert » FRANCE 3 ; « Coup de cœur culture de la rédaction »
BFM ; « Deux artistes formidables » M6. Avec ce duo qui a assurément offert l’une des meilleures prestations de notre festival, on peut s’attendre à une soirée exceptionnelle !
Bastien LUCAS
Grand Prix Claude Lemesle 2006 pour sa chanson « Comme à la guerre » (« Je vais à l’amour comme à la guerre/La déclaration est nécessaire ») et coup de cœur de l’Académie Charles CROS pour son premier album en 2007, Bastien LUCAS met habilement les jeux de mots au service d’une émotion légère sur des mélodies d’une élégance à la SHELLER. Dans « Mauvais temps », (« Il avait plu/J’étais trompé/Par le passé/Je t’avais plu/Mais, dépassé/Je t’aurai plus »), comme dans « Le banc » ou le superbe « Autant »,
il cultive son art de la retenue, jamais fanfaron. Le fin du fin, c’est de chanter « Absent » (« Et je ne suis plus/Qu’un moi à moitié/Un moi de perdu/Disparu ») avec une si belle présence scénique !
GARANCE
Atmosphère ? Atmosphères ! Oui, dans chacune de ses chansons, GARANCE, venue du théâtre, plante le décor et incarne à fond ses personnages dans une large palette d’ambiances : par exemple, le thème des amours déçues, hilarant dans « Retour de SAIGNEU »,
devient poignant dans « Gare du nord ». Mais qu’elle nous fasse part de ses colères (« Mes cheveux blancs ») ou qu’elle passe à la scène des aveux (« Peut-être »), on sent une belle sincérité dans ses textes. Grâce à l’emploi fréquent de l’anaphore et à des mélodies efficaces, GARANCE nous accroche et ça peut secouer parfois, comme « Jour de poisse » (Prix Moustaki 2015), sur le harcèlement de rue. Laissons le dernier mot à Anne SYLVESTRE : « Elle a une belle insolence, c’est du costaud ! »
TARIFS • 10€ | 8€
Réservation • Espace Gérard Philipe • 03 82 33 53 38